Le combat
Crédit photo : Matthieu Lecouvey – Initial Ingénierie
Durant la seconde guerre mondiale, faisant suite aux nombreux combats contre l’armée Allemande, la France est alors divisée en deux zones (occupée et libre) séparées par une ligne de démarcation qui rendra la vie très difficile pendant les années suivantes et donnera lieu à de nombreuses actions périlleuses. Mais, le 18 juin 1940, peu après l’arrêt des combats, une voix venue de Londres s’est élevée pour appeler les français à ne pas accepter la défaite et à poursuivre la lutte.
Le général de Gaulle dont l’appel sera réitéré à plusieurs reprises, va constituer avec l’aide des britanniques une organisation de résistance extérieure : « La France libre ». Les premiers mouvements de résistance intérieure apparaissent en octobre 1941 et prennent peu à peu contact avec la France Libre. Les maquis ou groupes d’action se multiplient et la Gironde est un des départements les plus prolifiques.
Les acteurs des combats
Qui sont t’ils ? Nous évoquerons dans un premier temps les résistants qui ont lutté par tous les moyens contre l’ennemi. Dans un second temps, nous parlerons des acteurs de la répression : les miliciens, la police Française mais également la police Allemande.
Le combat de la ferme de Richemont
La résistance au sein de la France s’organise pour lutter contre l’ennemi. C’est dans ce contexte, à la fois divisé et motivé, qu’une vingtaine de jeunes, issus principalement du Lycée Montaigne à Bordeaux, vont se regrouper pour créer une école de cadres. Le maquis de la ferme de Richemont était né.
La justice en action
Dans le courant du mois d’octobre 1944, la justice civile et militaire entre en action. Des procès auront lieu et les sanctions tomberont.
Bibliographie
Le combat de la ferme de Richemont a été relaté dans divers livres et documents.